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@ CRÉDITS / spunk-ransom-and-kstew | tumblr.
hawthorne, dawson
and if i die tonight in my car, would you stare at the stars and tink of me ?

› don't hold this war inside

Age : Vingt-huit ans tout juste.
Lieu de naissance: Une petite ville du Massachussetts dont jamais personne ne retient le nom. Il n'en parle que peu régulièrement, afin de ne pas attirer la curiosité sur sa personne.
Occupation : Il aurait été diplômé en littérature anglaise et américaine, serait, entre autres occupations, devenu barman et aurait remplacé un enseignant dans une classe de terminale. Nul ne sait ce qu'il aspire à être réellement, ses couvertures sont assez multiples.

› a heavy heart to carry

Il affirme être allergique aux tomates. En réalité, il n'en aime pas la teinte, l'aspect et le goût. Il ne se gêne pourtant pas d'arroser ses œufs au plat d'une bonne dose de ketchup. ─ Il porte des lunettes pour lire. ─ Dans les villes où il a grandi, beaucoup le reconnaissaient dans la rue. Il était considéré comme un garçon un peu étrange, son quotient intellectuel et ses capacités hors du commun étaient connues de tous, même si parfois un peu sous-estimées. Plus que n'importe qui, il a dû faire ses preuves en classe face à des camarades sceptiques. Il est ce qu'on appelle familièrement un surdoué, ou un génie. ─ Il n'a aucun lien de parenté avec le fameux écrivain américain Nathaniel Hawthorne, bien qu'il se soit évertué à le dire à tous ceux qui voulaient l'entendre pendant de nombreuses années. Il prétendait ainsi que ses aïeux avaient pratiqué la chasse aux sorcières pendant les procès de Salem. ─ Il ne supporte pas le désordre. ─ Sa mère l'a abandonné dans un orphelinat lorsqu'il avait cinq ans, il se souvient encore de son regard lorsqu'elle a tourné les talons. Depuis ce jour-là, il a trainé de familles d'accueil en familles d'accueil sans jamais être adopté, les gens ne cernant pas sa personnalité trop complexe. ─ On pourrait croire qu'il ne ressent rien. Aucune émotion. C'est pourtant légèrement exagéré. En réalité, il a beaucoup de mal à les identifier et les refoule mieux que personne. Tous ses sentiments sont décalés et il ne parvient jamais à les nommer. ─ Il est diplômé de Princeton. ─ Il a beaucoup voyagé tout au long de sa vie et connaît plusieurs langues : il peut ainsi communiquer en anglais - évidemment - mais également en français, en espagnol, et, plus original, en kurde et mandarin. L'Irlande a attiré sa curiosité complètement par hasard. ─ C'est une nouvelle recrue dans les rangs des Midnight mais il est plutôt apprécié pour son travail acharné et son ambition limitée. En effet, il préfère être de l'ombre et travailler sans être remarqué. Il ne lui est pas nécessaire d'être reconnu de ses pairs. En réalité, il n'en a rien à faire : sa mission est d'exterminer, pas d'être célèbre. ─ De toute sa vie, il n'a connu qu'une relation plutôt sérieuse. Une relation compliquée et entrecoupée qui ne semble jamais être terminée.

› you shoot me down but i won't fall

Il avait dix ans et quelques poussières ; sa compréhension du monde était différente et personne ne savait pourquoi. Les psychologues ne lui ont jamais demandé ce qu'il en pensait ou comment il considérait ses actes. Ils ont simplement cherché à le mettre dans les rangs, à le faire entrer dans une catégorie à laquelle il n'appartenait peut-être pas. Il était différent et personne n'a jamais compris. Il était moi et j'étais lui.

Dawson Hawthorne, extrait de journal.

badboyfetish

Il attend. Il attend qu'on lui dise ce qu'il est censé faire. On l'a réveillé, on l'a fait sortir du dortoir et on l'a emmené dans cette pièce en lui expliquant que quelqu'un désirait le voir. Il était rentré à l'orphelinat depuis deux jours à peine, et il est trop tôt : il a parfaitement compris que ce n'était pas une énième famille qui lui promettrait de l'aimer. Il a saisi la différence dès le réveil. Et, maintenant, il attend. C'est tout. « Tu sais pourquoi tu es là, Dawson ? » Le silence s'abat sur la pièce comme une chape de plomb. Les doigts tremblants, le petit garçon hoche la tête. Il ne craint rien, mais il s'impatiente. Non, il ne comprend pas ce qu'il fait dans cette salle sombre, sentant les vieux livres, et il aimerait qu'on le lui dise. L'adulte est assis en face de lui, les jambes croisées ; il tend la main et ses doigts se referment sur un fascicule trainant sur un bureau. Il mordille le bout du stylo, son pied bouge imperceptiblement. Toutes les images, les moindres mouvements, s'accrochent au cerveau du gamin, rebondissent contre les parois, s'impriment pour l'éternité. « J'ai fait quelque chose ? » L'homme hausse les épaules, son regard n'indique aucune réponse, seulement un peu de compassion. Ou de pitié. Le garçon a du mal à faire la différence. Il sait pourtant que cela a un rapport avec sa dernière famille d'accueil. Ils ont mal réagi à une remarque et, s'il n'en comprend toujours pas la raison, il a perçu dans leurs yeux une pointe de désapprobation et de crainte qui confirment ses doutes. « Tu as vécu chez les Stevens quelques jours, n'est-ce pas Dawson ? » Toujours cette manie d'ajouter son prénom en fin de question. Il acquiesce. « Onze jours, six heures et trente-trois minutes. » L'homme - le psychiatre du centre, il le reconnaît maintenant - a un petit sourire et inscrit quelques mots sur son carnet. « C'est à cause de Teddy ? » Encore, le stylo gratte sur la feuille de papier. Un peu plus longuement cette fois, comme si les conclusions du médecin étaient plus importantes. Cette question semble l'interpeler mais il ne relève pas. Lorsque ses yeux rencontrent ceux du garçon, il fait même mine de ne pas l'avoir entendue et continue son investigation. « Est-ce que monsieur ou madame Stevens te punissaient lorsque tu ne faisais pas ce qu'ils te demandaient de faire ? » Il hoche la tête. « Dawson, tu peux me le dire. » Un nouvel hochement de tête en signe de négation. En réponse, le stylo reprend son exploration sur le bloc-note. Sans relever les yeux, le psychiatre fait bouger ses lèvres. « Bien. Alors raconte-moi ce qu'il est arrivé à Teddy. » Il hausse les épaules et prend un moue, hésitant sur les mots à employer. « C'était mon hamster. Les Stevens me l'ont donné à mon arrivée. Mais il ne voulait plus jouer avec sa roue... » Il hésite, comprend que c'est la suite qu'on lui reproche. Qu'on lui reprochera indéfiniment.
« Ca embêtait Lucile. Elle voulait qu'il joue. Comme il le faisait pas, je l'ai noyé. » Le regard de l'homme fait écho aux regards lancés par ses parents d'accueil lorsqu'ils avaient découvert le petit corps sans vie de l'animal. « Comment ? » Il écrit, puis se reprend. « Comment tu l'as noyé ? » Court silence. « J'ai rempli le lavabo et je l'ai tenu sous l'eau. C'était rapide. » La réponse s'échappe comme un souffle. Une confession. Il ne ressent pourtant aucunement le besoin de se confesser. Il ne se reproche rien. Ce sont les autres qui ne comprennent pas.

› you shoot me down but i won't fall

Tuer, c'est facile. C'est comme respirer et avaler. C'est dans mes gênes.

Dawson Hawthorne, extrait de journal.

sweetrpattzdreams

Il a plusieurs masques et, parfois, il se confondent. Son intelligence lui permet néanmoins de paraître normal. Il se fond dans la masse. Il observe et imite. Lorsqu'on lui donne un ordre, il rechigne. Lorsqu'on lui fait un reproche, il lance un regard sombre. Lorsqu'on le félicite, il esquisse un sourire. Rien n'est vrai cependant. Ce ne sont que des masques qu'il pose sur son visage, puis qu'il retire simplement. En cet instant précis, il feint l'amusement. Un sourire laconique traine sur les bords de ses lèvres tandis que ses collègues - peut-il les considérer comme tel ? - s'excitent et sautillent sur leurs chaises respectives. « Le 21 avril 2010 ? » Il y a un petit instant de flottement. Seulement un cours instant. « Un samedi. Samaranch est mort à Barcelone. Je venais d'ailleurs de quitter l'Espagne pour votre joli pays. » répond-il comme si c'était une question des plus normales et que sa réponse n'avait rien d'étonnant. Le mec d'en face siffle, celui d'à côté éclate de rire et ils parlent tous en même temps, si bien qu'il ne capte que quelques paroles incompréhensibles. Mais cela ne fait rien. Déjà, son esprit est ailleurs, les souvenirs de cette fameuse journée martelant son crâne. Il se souvient des cris de l'enfant placé derrière lui dans l'avion, du sandwich au pain dur qu'on lui a servi à l'aéroport, de la température exacte qu'il faisait lorsqu'il est arrivé à Harristown. « Bon, fini de rire les gars. Il faut que j'y aille. J'ai encore du boulot. » La jeune femme derrière le bar lui lance un chiffon et lui adresse un clin d’œil. « Excellente idée, tiens. Je sais que vous ne croyez pas vraiment à l'égalité des sexes, mais c'est pas une raison. Je suis pas conchita, je suis barmaid. » Et lui n'est pas barman, mais une espèce de machine à tuer des vampires-nouvelle-génération. Chacun son boulot, ma vieille. Il tait pourtant sa pensée, attrape le chiffon et s'exécute.

› 'till the world ends

Pseudo : Connu sous music letter, surnommé Jem et prénommé Jeremy.
Célébrité de l'avatar : Robert Pattinson.
Commentaires / dédicace : Je crois que je ne connais personne - sinon, criez - alors dédicace aux jolies filles.

Hum, je ne peux pas décliner la proposition.
Merci beaucoup.

Nikki Craven a écrit:

Je sens que les combats vont être extras.

Physiquement rapprochés.



Aaron Shields a écrit:

music letter celui dont j'attends le I Belong Here avec impatience ?
Bienvenue et bon courage !
J'ai failli prendre Robert avant de me décider pour un scénario. Chanceux.

En URL et adresse IP, c'est lui-même.
Merci beaucoup. J'aurais alors pris Ryan Gosling très certainement, ahah.

Il a quelques petits trucs en trop - entre les jambes - pour que je le trouve sexy, mais je confirme : il était bien dans RM. Merci pour l'accueil.

Que tu crois, Nikki. Que tu crois.

Dawson Hawthorne a écrit:

En URL et adresse IP, c'est lui-même.
Merci beaucoup. J'aurais alors pris Ryan Gosling très certainement, ahah.

Nikki Craven a écrit:

Je suis morte de rire devant mon écran. C'est un peu ce que les hommes ont.
Je sens que tu va me plaire, et puis on verra bien. , tu ne me fait pas peur.

Tu devrais être effrayée, cachée sous tes draps.



Aaron Shields a écrit:

J'ai mis un moment avant de voir l'allusion au "en chair et en os". Je suis crevée.
C'est l'karma, ça.


Je deviens vachement lourd quand il se fait tard, tu sais. Mes blagues sont de plus en plus pourries.



Cat Redwyne a écrit:

Bienvenue

Merci.



Rhett Mercer a écrit:

J'adhère totalement au pseudo et choix d'avatar

Bienvenue !

Triplement merci. Je te rends le compliment pour le choix d'avatar.

Merci beaucoup miss.
Je viens de mettre le point final. J'espère que tout est bon. (:

Merci. :)